L’apprentissage associatif est lorsqu’un sujet crée une relation entre des stimuli (auditifs ou visuels) ou un comportement (auditifs ou visuels) et le stimulus d’origine (auditif ou visuel). Plus le caractère concret des éléments de stimulus est élevé, plus ils sont susceptibles d’évoquer des images sensorielles pouvant fonctionner comme médiateurs de l’apprentissage associatif et de la mémoire. La capacité d’apprendre de nouvelles informations est essentielle à la vie quotidienne et constitue donc une composante essentielle du vieillissement en santé. Des recherches substantielles documentent le déclin lié au vieillissement de la formation et de la récupération de souvenirs épisodiques. L’acquisition d’associations est la base de l’apprentissage. Cet apprentissage se voit dans le conditionnement classique et opérant.
Loi de l’effetdit
Edward Thorndike a fait des recherches dans ce domaine et a développé la loi de l’effet, où les associations entre un stimulus et une réponse sont affectées par la conséquence de la réponse. Par exemple, les comportements augmentent en force et / ou en fréquence lorsqu’ils ont été suivis d’une récompense. Cela se produit en raison d’une association entre le comportement et une représentation mentale de la récompense (comme la nourriture). Inversement, la réception d’une conséquence négative diminue la fréquence du comportement dû à l’association négative. Un exemple de ceci serait un rat dans une cage avec un levier de barre. Si le fait d’appuyer sur le levier produit une pastille alimentaire, le rat apprendra à appuyer sur le levier pour recevoir de la nourriture. Si une pression sur le levier entraînait un choc électrique sur le sol de la cage, le rat apprendrait à éviter d’appuyer sur le levier.
Conditionnement classiquemodifier
Le conditionnement classique est un exemple d’association savante. Le processus de conditionnement classique se compose de quatre éléments: stimulus inconditionné (UCS), réponse inconditionnée (UCR), stimulus conditionné (CS) et réponse conditionnée (CR).
Sans conditionnement, il existe déjà une relation entre le stimulus inconditionné et la réponse inconditionnée. Lorsqu’un deuxième stimulus est associé au stimulus inconditionné, la réponse devient associée aux deux stimuli. Le stimulus secondaire est connu sous le nom de stimulus conditionné et suscite une réponse conditionnée.
La force de la réponse au stimulus conditionné augmente au cours de la période d’apprentissage, à mesure que le CS devient associé à l’UCS. La force de la réponse peut diminuer si CS est présenté sans UCS. Dans sa célèbre expérience, Pavlov a utilisé la réponse inconditionnelle des chiens salivant à la vue de la nourriture (UCS), et a associé le son d’une cloche (CS) à la réception de la nourriture, puis le chien a salivé (CR) à la cloche seule, indiquant qu’une association avait été établie entre la cloche et la nourriture.
conditioningEdit opérant
Dans le conditionnement opérant, les comportements sont modifiés en raison des résultats expérimentés de ces comportements. Les stimuli ne provoquent pas de comportement, comme dans le conditionnement classique, mais plutôt les associations sont créées entre stimulus et conséquence, comme une extension par Thorndike sur sa Loi d’effet.
B.F. Skinner était bien connu pour ses études sur les renforçateurs sur le comportement. Ses études ont inclus l’aspect de la contingence, qui fait référence au lien entre une action spécifique et la conséquence ou le renforcement suivant. Skinner a décrit trois contingences: le renforcement positif, le renforcement négatif et la punition. Les renforts créent une association positive entre l’action et la conséquence afin de favoriser la poursuite de l’action. Cela se fait de deux manières, les renforçateurs positifs introduisent un stimulus gratifiant, tandis que les renforçateurs négatifs suppriment un stimulus aversif pour rendre l’environnement moins aversif. Les punitions créent une relation négative entre l’action et la conséquence de sorte que l’action ne continue pas.
MoodEdit
Le contenu global des humeurs, comparé aux émotions, aux sentiments ou aux affects, est moins spécifique et est susceptible d’être provoqué par un stimulus ou un événement. Les présentes études ont étudié les constituants de l’expérience qui se produit d’humeurs spécifiques telles que des états d’humeur tristes ou en colère. Les humeurs sont généralement définies en les contrastant avec des émotions. Plusieurs critères existent pour distinguer les humeurs des émotions, mais il existe un consensus largement partagé selon lequel la caractéristique principale de différenciation est que les humeurs, contrairement aux émotions, sont diffuses et globales. Watson a présenté un lapin blanc moelleux à un nourrisson et a créé un lien entre le lapin et un bruit fort. Cette expérience pour le petit Albert associait un sentiment de peur au lapin.